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Le bivouac en montagne en France : où planter sa tente en 2025 ?
Introduction
Le bivouac en montagne, c’est l’expérience de passer une nuit en pleine nature sous tente, en général entre le coucher du soleil et le lever du jour. Contrairement au camping traditionnel, le bivouac se limite en principe à une nuit et à un abri léger. C’est souvent un moyen de profiter de paysages isolés lors d’une randonnée itinérante sans équipement lourd. Cependant, cette liberté s’accompagne de règles strictes et de bonnes pratiques à respecter. Dans cet article, nous expliquerons en détail comment bivouaquer en montagne en France en 2025, en commençant par la législation en vigueur.

Réglementation du bivouac en France (2025)
En droit français, il n’existe pas de statut spécifique au bivouac : on l’assimile au camping sauvage réglementé par le Code de l’urbanisme. L’article R111-32 dispose que le camping (et donc le bivouac) n’est autorisé que « hors de l’emprise des routes » et avec l’accord du propriétaire du terrain. En pratique, cela signifie qu’il est interdit de planter sa tente sur un terrain privé sans permission (ou sur toute voie publique), sous peine de contravention. De plus, l’article R111-33 liste explicitement des lieux interdits : les bords de mer et plages, les espaces naturels protégés (réserves, monuments historiques, parcs classés), ainsi que dans un périmètre de 200 m autour des points d’eau potable et 500 m autour des monuments historiques. En résumé, partout où il n’existe pas d’interdiction, le bivouac reste autorisé, sous réserve d’obtenir au préalable l’accord du propriétaire et de respecter les horaires usuels (le plus souvent le campement doit être installé entre la tombée de la nuit et 9h du matin).
- La réglementation précise qu’on ne doit pas allumer de feu en pleine nature (sauf emplacements aménagés) et qu’il faut toujours emporter ses déchets. Par exemple, le Parc du Haut-Jura rappelle qu’il est formellement interdit de porter ou d’allumer du feu dans une zone protégée, et exhorte les randonneurs à ne laisser aucune trace ni détritus.
- Avant de partir bivouaquer, renseignez-vous systématiquement : consultez les sites web des mairies, des parcs nationaux/régionaux ou même des refuges locaux pour connaître les règles en vigueur. Les offices de tourisme et certains sites internet spécialisés insistent sur la nécessité de vérifier les arrêtés municipaux locaux, qui peuvent imposer des interdictions dans des zones proches des villages ou des sentiers. Bref, contactez toujours les autorités locales ou un gardien de refuge avant d’installer votre camp.
Zones de bivouac autorisées par région et type de parc
En montagne, les possibilités de bivouac varient fortement selon les massifs et les parcs. Voici un panorama des zones autorisées (et interdites) pour planter sa tente, par grandes régions géographiques et parcs :
Parcs Nationaux – Alpes : Dans les parcs nationaux alpins (Vanoise, Écrins, Mercantour), le bivouac est soumis à des conditions strictes. Par exemple, en Vanoise le bivouac est autorisé en période estivale (généralement du 1ᵉʳ juin au 30 sept.) de 19h à 8h seulement, et uniquement à proximité de refuges gardés (sur réservation préalable). Dans le Parc des Écrins, le bivouac est toléré entre 19h et 9h à plus d’une heure de marche des routes ou des limites du parc, ou bien proche de certains refuges (ex. abords du lac de la Muzelle). Le Mercantour autorise aussi le bivouac entre 19h et 9h, mais seulement à plus d’une heure de marche des limites du cœur du parc ou d’un accès routier. Par comparaison, dans Vanoise, au cœur du parc on peut seulement installer sa tente à proximité de refuges en gardiennage.

Parcs Nationaux – Pyrénées et Cévennes : Dans les Pyrénées, le bivouac est permis de 19h à 9h à au moins une heure de marche de toute voie motorisée. Des aires matérialisées existent autour de quelques refuges. Dans les Cévennes, la pratique est très encadrée : vous ne pouvez bivouaquer qu’aux abords des GR® et GRP® (50 m de chaque côté) et seulement entre 19h et 9h. En dehors de ces itinéraires balisés, c’est strictement interdit (voir les tronçons signalés comme sensibles).
Parcs Nationaux – Autres : Certains parcs interdisent totalement le bivouac : c’est le cas de Port-Cros et des Calanques, où la couche de nuit est réservée à l’hébergement officiel. Dans les parcs ultramarins de la Guadeloupe et de la Réunion, le bivouac est plutôt toléré (à plus d’une heure de marche de routes et uniquement en tente légère à La Réunion). En Amazonie guyanaise, il est déconseillé de pénétrer sans accompagnement.
- Parcs Naturels Régionaux (massifs) : En dehors des parcs nationaux, de nombreux Parcs Naturels Régionaux (PNR) de montagne autorisent le bivouac « non sensible » sous conditions. Par exemple, dans le Haut-Jura, le bivouac (19h-9h) est autorisé à proximité des sentiers balisés, des villages ou des refuges. Il faut simplement l’éviter dans certaines zones protégées (Arrêtés préfectoraux de protection de biotope en hiver). Dans le Vercors, le bivouac est « toléré entre 19h et 9h du matin », et les randonneurs peuvent utiliser les nombreuses cabanes non gardées. Le Parc des Volcans d’Auvergne (Massif Central) autorise également le bivouac, à condition de rester éloigné des sites touristiques fragiles et de respecter les chartes locales. D’autres PNR (Vosges, Luberon, etc.) appliquent des règles similaires : vérifier chaque charte locale est indispensable.
- Massifs non classés et zones privées : Au sommet de la liste des lieux « tolérés », on trouve les zones peu accessibles : les hautes crêtes isolées, les grandes forêts de montagne peu fréquentées, ou encore les terrains privés lorsque l’on a obtenu l’accord du propriétaire. Dans les massifs sans statut particulier, il suffit que le bivouac ne soit interdit par aucun panneau local (mairie, PN, PNR). Enfin, une alternative réglementée existe : le gamping (camping chez l’habitant), proposé sur certaines plateformes privées et autorisé par la loi récente. Ainsi, pour garantir un bivouac en règle, tenez-vous toujours au courant des arrêtés locaux et des pratiques recommandées par les gardiens ou les offices de tourisme.

Planification, sécurité et météo
Réussir un bivouac sûr et agréable nécessite une bonne préparation. Voici quelques conseils pratiques :

- Choisir son emplacement avec soin : recherchez un terrain plat, peu visible, abrité du vent et hors de zones sensibles (aires de pâturage, réserves, avaloirs d’eau). Évitez les fonds de vallées humides (inondation) et les crêtes exposées aux orages. Installez votre tente sur un sol déjà fréquenté si possible, et laissez-la le moins en évidence possible.
- Horaire et durée du campement : Le bivouac se pratique habituellement entre 19h et 9h. Il est recommandé d’arriver une fois la nuit tombée et de redécamper tôt le matin pour limiter l’impact visuel et respecter la faune (les refuges insistent sur le caractère nocturne du bivouac). La durée idéale reste d’une seule nuit par emplacement, ce qui correspond à la définition même du bivouac.
Plan d’itinéraire et sécurité : Calculez votre parcours pour atteindre le lieu prévu avant la nuit, prévoyez des marges de temps (imprévus, difficulté) et ne surchargez pas vos étapes. Informez toujours quelqu’un de votre itinéraire et de vos horaires, et partagez votre position si possible. Munissez-vous d’un GPS, carte IGN et boussole pour éviter de vous perdre, et rappelez-vous que les signaux téléphoniques peuvent manquer en montagne. Vérifiez aussi les prévisions météorologiques locales : ne partez pas si des orages ou vents violents sont annoncés.
Éviter les risques naturels : Renseignez-vous sur les dangers du secteur (crevasses en glacier, avalanches, noyades, etc.) et équipez-vous en conséquence (par exemple, choisir un abri basique plutôt qu’une tente légère en terrain avalancheux). En cas de conditions difficiles, privilégiez les itinéraires de repli vers un refuge ou un abri existant. Toujours emporter une lampe frontale avec batteries de rechange : en montagne, la nuit tombe tôt et il est primordial de pouvoir se déplacer ou remonter la tente dans l’obscurité.
Respect des horaires et des lieux : Dans les parcs nationaux encadrés, ne dépassez pas les plages horaires (19h-9h) et ne campez qu’aux emplacements autorisés. L’exemple des refuges alpins est éclairant : ils disposent souvent d’une « plateforme bivouac » toute proche, et il est impératif de signaler sa présence au gardien. Faites profil bas le soir pour ne pas déranger (sons et lumières discrets).
Équipement recommandé (tente et matelas BaribalPro)
Choisir un matériel léger et fonctionnel est crucial en bivouac pour la montagne. Voici les points essentiels, avec un zoom sur les produits BaribalPro :
Tente de bivouac : Optez pour une tente ultralégère et facile à monter. Par exemple, la tente gonflable 2 places BaribalPro pèse seulement 1,8 kg et se range dans un sac 30×15×15 cm. Son principe innovant repose sur des arceaux gonflables (montage en ~30 secondes), ce qui élimine le risque de casse des arceaux traditionnels. Sa toile imperméable (étanchéité 3000 mm) en polyester haute densité et nylon renforce la résistance aux intempéries. En montagne, ce type de tente facilite l’installation rapide d’un campement à la tombée de la nuit.

- Matelas isolant gonflable : Un bon matelas protège du froid du sol. Le matelas gonflable BaribalPro pèse seulement 0,55 kg et se gonfle en ~30 secondes grâce à une valve anti-retour . Sa surface de 200×60×6 cm répartit efficacement le poids et offre une isolation thermique remarquable. Son matériau robuste (polyester/nylon) résiste aux petits accrochages. Ce type de matelas compact se roule et se glisse facilement dans un sac à dos.
- Sac de couchage et accessoires : Emportez un sac de couchage adapté à la saison (température confort bien inférieure à celle prévue la nuit). Un drap de sac peut servir de seconde peau pour plus d’hygiène et de chaleur supplémentaire. Prévoyez également un oreiller de bivouac gonflable ou un coussin léger optionnel, car dormir bien à l’aise conserve l’énergie.
- Cuisine en bivouac : Un petit réchaud portable (à gaz ou multi-combustible) et quelques popotes légères vous permettront de préparer des repas chauds. Prenez suffisamment d’eau ou un filtre : l’hydratation est cruciale. Des aliments déshydratés ou lyophilisés, ainsi que des encas énergétiques, sont à privilégier. Rappelez-vous qu’en bivouac on ne dispose ni d’eau courante ni d’électricité.
- Équipement de sécurité et confort : Outre la lampe frontale citée plus haut, on ajoute dans son sac : des vêtements chauds (coupe-vent, polaire, bonnet, gants), une trousse de premiers secours et un couteau multi-usage. Une batterie externe peut sauver un smartphone en situation d’urgence. Une bâche ou sursac imperméable (souvent fournie avec la tente) protège du sol humide. Enfin, munissez-vous d’une carte IGN de la zone, d’une boussole ou d’un GPS : le terrain de montagne est parfois trompeur, surtout en cas de mauvais temps.
Fiches pratiques

- Checklist du matériel essentiel : Consultez cette liste pour ne rien oublier avant de partir : tente ultralégère (ex. tente BaribalPro 2 places – 1,8 kg, montage éclair), matelas gonflable (BaribalPro, 0,55 kg, gonflage 30 s), sac de couchage adapté, drap de sac, popote/réchaud, eau, lampe frontale, vêtements chauds et imperméables, trousse de secours, couteau, carte/boussole/GPS, et un sac poubelle pour emporter tous ses déchets.
- Erreurs à éviter : Ne commettez pas ces faux pas fréquents :
- Ignorer la réglementation locale – Ne plantez pas votre tente dans un parc national sans avoir vérifié la réglementation. Renseignez-vous systématiquement auprès des gardiens ou sur les sites officiels.
- Faire un feu – Par sécurité et respect de la nature, le feu est interdit dans la quasi-totalité des zones de montagne en France (sauf foyers aménagés). Un simple brin d’herbe enflammé peut déclencher un incendie catastrophique.
- Laisser des déchets – Emportez toujours vos ordures, y compris le papier toilette. Les parcs demandent de repartir avec la nature aussi propre qu’à l’arrivée.
- Révéler son emplacement – Évitez de planter la tente en plein milieu d’un panorama très fréquenté. Cherchez l’intimité dans un sous-bois ou derrière une bosse afin de ne pas gâcher la vue des autres randonneurs.
- Sous-estimer le temps de marche – Ne vous lancez pas dans un itinéraire trop long pour la journée. Vérifiez la durée sur carte et assurez-vous d’atteindre votre bivouac avant l’obscurité.
- Astuces de terrain : Quelques « trucs » pour simplifier votre bivouac :
- Monter tard et démonter tôt – Installez la tente uniquement après la tombée du jour, et repliez-la dès l’aube (avant 9h). Cela minimise l’impact visuel et respecte les règles tacites du bivouac.
- Choisir un site plat et stable – Si le sol est incliné, utilisez des cales ou des pierres pour stabiliser les sardines. Dépliez la toile de sol (ou bâche) pour protéger la tente de l’humidité.
- Camoufler le campement – Réunissez toutes vos affaires au sein de la tente. Réduisez l’éclairage extérieur et le bruit pour ne pas effrayer la faune ou gêner d’autres campeurs aux alentours.
- Protéger la tente du vent – Orientez l’ouverture de la tente face au vent pour limiter les courants d’air. Vous pouvez accrocher vos vêtements sur la tente (sans la percer) pour freiner son oscillation.
- Prévoir une météo variable – Mettez votre équipement (tente, sac…) dans un sac étanche s’il risque de pleuvoir en chemin. Ayez toujours sous la main des vêtements chauds : la température chute vite une fois le soleil couché en altitude.
Éthique et bonnes pratiques (Leave No Trace)

Le bivouac en montagne impose un comportement exemplaire vis-à-vis de la nature. Les principes du « Leave No Trace » (ne laisser aucune trace) sont à appliquer scrupuleusement : ne laissez aucun déchet (y compris biologique), ne dégradez pas la végétation (évitez de pincer la toile dans un arbuste fragile), et préservez la tranquillité de l’environnement. Par exemple, le Parc du Haut-Jura insiste sur le fait de ne pas faire de feu et de ramener tous ses déchets, même organiques (graines, pelures). Respectez la faune : ne nourrissez pas les animaux sauvages et maintenez les chiens en laisse (certains parcs l’imposent). Enfin, n’installez jamais votre tente sous un arbre pouvant se rompre ou dans une zone d’éboulis instable. En suivant ces bonnes pratiques – bivouac minimal, discret et propre – vous contribuez à préserver les montagnes pour les randonneurs de demain.
FAQ :
Q1 : Qu’est-ce que le bivouac en montagne ?
A1 : Le bivouac est un campement sauvage d’une seule nuit en pleine nature, souvent au cours d’une randonnée. Il se distingue du camping par sa brièveté : on plante généralement sa tente au crépuscule et on la replie à l’aurore. C’est l’occasion de dormir à la belle étoile sans confort de terrain aménagé.
Q2 : Le bivouac est-il autorisé en France ?
A2 : Le bivouac est généralement autorisé partout où aucune interdiction spécifique n’est affichée. Toutefois, il faut être vigilant : le Code de l’urbanisme exige l’accord du propriétaire pour camper (article R111-32). De plus, de nombreux parcs et communes interdisent le camping isolé dans les forêts, sur les plages ou près de monuments historiques. Avant de bivouaquer, informez-vous des règlements locaux (mairies, parcs nationaux, etc.) et évitez les zones strictement protégées.
Q3 : Où bivouaquer en montagne sans risquer d’amende ?
A3 : Les meilleures zones sont les massifs peu densément aménagés (Hautes-Alpes, Alpes du Nord, massif pyrénéen, etc.) et les parcs naturels régionaux, où la pratique est souvent tolérée. Par exemple, de nombreux parcs régionaux (Haut-Jura, Vercors, Volcans d’Auvergne) autorisent le bivouac loin des sentiers sensibles. Dans les parcs nationaux, suivez les zones délimitées : la Vanoise autorise le bivouac à proximité de refuges de 19h à 8h, alors que Mercantour et Pyrénées exigent d’être à plus d’une heure de route. En cas de doute, contactez le parc ou plantez la tente sur une propriété privée avec accord écrit.
Q4 : Comment planifier son itinéraire bivouac ?
A4 : Prévoyez un itinéraire réalisable dans la journée en tenant compte du dénivelé et de votre vitesse. L’idéal est d’arriver sur zone au crépuscule (après 19h) et de repartir avant 9h le lendemain. Calculez les temps de marche (ignorer l’itinéraire ne pardonne pas) et indiquez votre plan à un proche. Emportez cartes/gps et vérifiez la météo : en montagne, le temps peut changer très vite, et des orages nocturnes sont fréquents en été (planifiez toujours un itinéraire de replis vers un refuge si nécessaire).
Q5 : Quel équipement essentiel pour bivouaquer ?
A5 : Le minimum absolu comprend une tente de bivouac compacte, un sac de couchage chaud, un matelas isolant, de l’eau potable et de la nourriture. Ajoutez une lampe frontale, un réchaud, des vêtements chauds/étanches, une trousse de secours et une carte. Pour maximiser confort et légèreté, on privilégie les équipements ultralégers : par exemple, la tente gonflable BaribalPro 2 places (1,8 kg, montage rapide) et le matelas BaribalPro gonflable (0,55 kg, gonflage 30 s), qui offrent un bon compromis entre faible encombrement et confort thermique.
Q6 : Pourquoi choisir une tente gonflable BaribalPro ?
A6 : Les tentes gonflables BaribalPro combinent rapidité et légèreté. Leur structure se monte en moins d’une minute (sans percer l’espace, juste 30 s de gonflage). Les arceaux gonflables sont plus résistants aux chocs et plus faciles à réparer que les arceaux métalliques classiques. Avec une étanchéité de 3000 mm et une toile en polyester renforcé, elles protègent efficacement contre la pluie et le vent. C’est donc un choix judicieux pour des bivouacs en montagne où chaque gramme compte, tout en assurant un abri solide face aux intempéries.
Q7 : Quelles bonnes pratiques respecter lors d’un bivouac ?
A7 : Adoptez le principe « Leave No Trace » : ne laissez aucune trace de votre passage. Emportez absolument tous vos déchets, organiques ou non, et dispersez les cendres si vous avez allumé un petit feu dans une zone autorisée (ce qui reste rare). Camouflez votre campement (tenez-vous à l’écart des sentiers principaux), respectez les horaires (campement entre 19h et 9h) et soyez discrets le soir pour ne pas déranger la faune ou d’autres randonneurs. Ne cueillez pas de plantes, ne perturbez pas la faune locale, et si vous bivouaquez près d’un alpage, donnez la priorité aux bêtes. Ces gestes simples garantissent un bivouac respectueux de l’environnement et des habitants de la montagne.
Sources : Réglementation et conseils issus des textes de loi et de sites institutionnels (parcs nationaux, Code de l’urbanisme), blogs spécialisés et retours d’expérience terrain.